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Junior Zogo au sujet de son asile : « Je n’étais pas persécuté par le président Biya… »

L’ancien commissaire de police au Cameroun a levé l’équivoque dans une vidéo diffusée sur sa page Facebook avec pour principal destinataire J. Rémy Ngono.


Depuis des années, Junior Christophe Zogo est installé en France, loin de son Cameroun natal où il a exercé au sein de corps de la police jusqu’au grade de commissaire.


Junior Zogo lève l’équivoque


Dans ses accrochages d’avec le journaliste J. Rémy Ngono et par ailleurs son ex acolyte de lutte à la BAS, il est accusé d’avoir demandé l’asile politique alors qu’il n’était pas en danger. Toute chose que le désormais fonctionnaire français tient à éclaircir.


« Le Ndjansan Man a dit ceci qu’ils vont m’attaquer parce que j’étais allé demander l’asile politique alors que je n’étais pas menacé et tout ça. Mais c’est idiot ! J’ai demandé l’asile politique. Je n’étais pas persécuté par le président Biya. C’est Edgar Alain Mebe Ngo’o qui m’a révoqué, qui me persécutait. Je suis venu en France, ma cause était juste, on m’a accordé l’asile. Et dans le cheminement normal, ce qu’on appelle le parcours d’intégration, une fois que tu as l’asile politique, tu peux aspirer à la nationalité française. J’ai aspiré à la nationalité française, je l’ai eue et c’est ça qui les énerve. Vous aussi devenez Français, mon parcours force l’admiration… », a affirmé Junior Zogo dans sa vidéo.


Celui qui dit avoir abandonné le groupe activiste de la diaspora pour rejoindre le président Paul Biya n’a pas manqué de tacler son challengeur en lui demandant de présenter à son tour ses diplômes, surtout celui de journaliste.


De même, l’homme qui est en exil en France a tenu à divulguer un audio où le consultant de radio foot international dit être disposé à renouer avec le régime d’Etoudi.


Le clash n’est pas fini entre les deux hommes. Le rendez-vous a été pris pour ce samedi 25 avril dans un direct Facebook.


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